dimanche 29 janvier 2012

La routine à Adelaide....

Voilà une bonne semaine maintenant que Chris est reparti en France et nous avons continué notre petite vie tranquillement. La chance a recommencé à tourner pour Aimery, qui a obtenu un contrat de 20h dans un restaurant italien en centre-ville, dans lequel il bosse comme plongeur et aide-cuisine. Dans la semaine, il a aussi reçu un coup de fil pour bosser dans un des plus gros pubs de la ville, PJ O’Briens et où il est barback le samedi soir pour le moment et sûrement bientôt aussi le jeudi et le vendredi soirs. Donc les choses vont un peu mieux de ce côté-là.

En ce qui me concerne, j’ai toujours le même job dans un petit café-resto italien situé à Rundle Mall (la rue commerçante d’Adelaide), mais pour le moment, je ne fais que des extras 2 à 3 jours par semaine. Evidemment, ce n’est pas suffisant, mais nous avons déposé des CV partout en ville et espérons que les choses s’accélèrent vers le 10 février, avec la saison d’été qui débute pour de vrai et aussi les Festivals qui arrivent.

Nous avons nos repères désormais et vivons une petite vie presque routinière (si on peut dire que la routine peut être atteinte lorsque l’on vit dans un van en ville… !)

Nous passons notre journée dans le centre-ville, et nous nous attendons mutuellement lorsque l’un des deux bosse. Nous avons repéré des bons coins pour passer le temps : il y a toujours le Peterpans pour un bon débit Internet et une prise, mais nous avons trouvé une autre prise dans Rundle Mall, dans une petite galerie avec la climatisation (et donc le paradis !) Et la cerise sur le gâteau, c’est que dans cette rue, l’accès Internet est gratuit et le débit assez bon.  Comme la chaleur est parfois insupportable, nous sommes toujours à l’affût des coins frais, comme les galeries marchandes ou les Mcdo.

En fin de journée, nous retournons vers la banlieue tranquille d’Adelaide, et dînons dans un petit parc pour enfants plutôt sympa, où il y a toilettes et prise (encore !) et nous pouvons donc regarder un petit film tous les soirs en attendant qu’il fasse un peu moins chaud. Vers  23h, on prend la douche et là, c’est toute une technique : soit la douche solaire, qui reste le moyen le plus simple, même s’il n’est pas facile de se doucher en plein milieu d’une rue. 
Ou alors il y a les arrosages automatiques des pelouses ; chose que nous avions déjà testé à Shepparton, au stade de foot, et que nous réitérons dès que possible. Le parc étant arrosé tous les 2 jours, c’est là que nous trouvons notre bonheur : l’eau est fraîche et la pression est garantie (idéal pour se laver les cheveux !)… Evidemment, il faut marcher en se douchant, et suivre le cercle tracé par l’arrosage mais en règle générale, c’est plutôt drôle et ça nous arrange bien, surtout quand il a fait 40 degrés toute la journée !

Et le weekend, direction Glenelg, autre banlieue d’Adelaide, où nous trouvons la mer et la plage ! Et là, c’est détente totale pendant 2 jours, nous nous baignons, nous jouons aux cartes et nous discutons avec les gens du coin, qui sont super gentils et accueillants. Samedi dernier, nous avons même été invités par la dame devant chez qui nous avions posé le Wasa van : elle nous a proposé de venir boire un petit thé chez elle. Nous en rêvions, nous l’avons fait et c’était un moment très agréable, puisque nous recherchons toujours le plus possible à discuter avec des vrais Australiens. C’est aussi un peu le but du voyage…

Donc voilà, pour le moment une petite vie toute simple. Evidemment, nous étions partis pour faire un road-trip, et je peux vous dire qu’il ne se passe pas un jour sans que l’envie de reprendre la route nous chatouille, nous avons encore tellement de choses à voir et de paysages à découvrir. 
Rester aussi longtemps dans un endroit est un peu contraignant, surtout qu’il n’est pas du tout facile de vivre dans un van en ville (je vous l’ai déjà dit, mais je le répète, c’est un peu la galère quand même !), mais nous devons être raisonnables et rester ici pour gagner des sous afin de reprendre le voyage correctement. Donc en attendant, il faudra juste être patients…

Quelques photos d'Adelaide et de Glenelg !

 Ceci, croyez-le ou non, est la maison (ou plutôt le manoir) de quelqu'un et avec vue sur la mer évidemment... ça fait rêver !
 On les préfère quand ils sont faux !



 Taïs et Santa s'amusent bien au parc pendant qu'on prépare le repas du soir !
Et voilà notre nouvelle copine Joséphine : La fameuse Redback Spider, avec qui nous passons nos soirées. Cette araignée mortelle est la cause de 200 morsures par an, et se cache dans les murs et les recoins. Elle n'attaque pas, mais se défend, ce qui signifie que dans la mesure du possible, si on la laisse tranquille, elle nous laisse tranquille aussi.
Elle sort donc le soir dans le coin d'un mur au parc dans lequel nous regardons nos films, donc du coup, on va la voir tous les soirs, pour vérifier qu'elle n'a pas bougé.
C'est quand même impressionnant, et pas forcément très rassurant, mais bon, finalement, on s'y habitue !
 Coucher de soleil à Glenelg...


 Désolée, la photo est un peu floue, mais c'est normal, ce n'est pas Aimery qui l'a prise !
 Et voilà toujours Joséphine !
 Une des cathédrales d'Adelaide, qui est une ville extrêmement religieuse d'après ce qu'en dit le Lonely Planet. Et en effet, on n'avait jamais vu autant d'églises et de cathédrales depuis qu'on était arrivés en Australie !
Dans ce pays, ils utilisent des voitures pour faire des pots de fleurs géants... C'est original.
Et les petits cochons du Rundle Mall !

dimanche 22 janvier 2012

Adelaide : la dernière chance.


 Nous arrivons à Adelaide en fin de semaine. Maintenant, il faut prendre son courage à deux mains et sillonner les bars, restos, cafés et autres pour demander s'il n'y aurait pas une place pour nous !! Nous nous séparons et chacun part de son côté, CV en main pour trouver un JOB !!

En fin de journée, nous nous retrouvons et faisons le bilan. Ce n'est pas très encourageant. La plupart des cafés et bars nous ont dit que pour le moment, il n'y avait pas trop de boulot parce que la saison n'avait pas vraiment commencé. On se dit que ça doit être notre mauvaise étoile qui s'acharne sur nous : à chaque fois qu'on arrive quelque part, on n'est pas dans la saison... Mais certains ont quand même pris notre CV et ont dit qu'ils nous rappelleraient dans 2 à 3 semaines. Finalement, Aimery a tout de même obtenu un essai dans un resto italien, pour y être kitchen-aid (aide-cuistot) et plongeur. Il doit y aller lundi.

Le lendemain, on recommence encore et en fin de journée, on m'appelle aussi pour aller faire un essai dans un petit café-resto italien (encore) mardi et mercredi. Nous sommes samedi et il fait donc attendre encore.

Peu à peu, notre moral baisse, car malgré ces minuscules lueurs d'espoir, la situation ne semble pas s'améliorer. Quoiqu'il arrive, il faut encore attendre jusqu'à début février. Et deux semaines à attendre quand on est dans une ville, ça peut en faire rêver certains, mais nous, ça ne nous emballe pas. Parce qu'au bout de trois jours, on trépigne déjà, on a envie de partir, on bouille d'impatience à l'idée de reprendre la route et de voyager encore et encore.
Mais cette fois, ce n'est pas possible. Il faut ronger son frein, prendre son mal en patience. Il faut attendre.

Lundi, Aimery a son essai et ça semble concluant mais il n'en sait pas vraiment plus. Mardi et mercredi, à mon tour de faire mes essais, et je suis prise, mais le patron ne semble pas enclin à me donner beaucoup d'heures pour le moment... Il faut donc continuer à chercher mais partout, on nous dit d'attendre jusqu'à février.

La semaine s'écoule lentement et un peu douloureusement. Nous sommes tous les 3 fatigués, à bout de nerfs, et parfois nous avons même un début de mal du pays.
Laissez-moi vous rappeler que cela fait presque 3 mois maintenant que nous vivons dans un van, et que la vie pour nous est très précaire. Il a fallu s'adapter à prendre des douches froides sur les bords de route, à dîner tous les soirs avec un réchaud de camping, il a fallu s'accommoder à la chaleur qui parfois nous accable, au lit du van que nous avons trouvé près d'une maison et qui, bien qu'il soit plutôt confortable, reste un vieux matelas dont plus personne ne voulait. Sans parler de Chris qui dort à l'avant du van depuis bientôt deux mois ! Il a fallu aussi s'habituer aux insectes divers et variés qui sont ici de vrais prédateurs : on ne compte plus les piqûres de moustiques et les morsures d'araignée que nous avons partout sur les jambes, les bras et les pieds. Bref, l'Australie est un pays extraordinaire mais parfois c'est difficile et il faut quand même s'accrocher.

Finalement, en fin de semaine, coup de théâtre : Chris décide que le voyage est terminé pour lui. Il passe deux jours à batailler pour changer sa date de départ et aussi la ville de départ, et samedi, au soir, nous l'amenons à l'aéroport d'Adelaide. Il faut lui dire au revoir et bizarrement, nous avons un pincement au coeur : nous ne le connaissions que très peu, mais dans une aventure comme celle-là, on s'attache aux gens à vitesse grand V. Avec lui, nous avons vécu plein de bons moments, nous avons partagé une quarantaine de parties de Uno, mais aussi une grosse dose de fous rires. C'était un peu notre petit frère, ce mec hyperactif et tout le temps joyeux, ce photographe hors pair qui s'extasiait devant des paysages naturels et qui fondait devant les koalas... Bref, un super compagnon de voyage à qui nous avons dit au revoir. A bientôt; Chris, je sais que maintenant, toi aussi tu vas suivre nos aventures !!

Et maintenant, nous voilà à nouveau tous les 2, prêts à continuer cette aventure coûte que coûte !!!





 Et voilà quelques-unes des photos de Chris, il y en a des centaines évidemment, mais celles-ci sont juste quelques moments attrapés au vol par un très bon photographe que nous remercions encore de sa bonne compagnie... :)

vendredi 20 janvier 2012

La fin du rêve et le début des galères..

Nous voilà à Mildura. Il faut maintenant trouver du boulot dans les vignes. Commence alors une recherche endiablée à travers la ville, dans les fermes alentours, sur Internet, à la librairie, mais aussi grâce au bouche-à-oreille… pour finalement arriver à la conclusion que ce n’est pas encore la saison et qu’il faut attendre.

Mildura est une grande ville, au cœur d’une région où les vignes sont par milliers partout autour de nous. La ville est sympathique, mais pas non plus de quoi sauter de joie, surtout que nous ne sommes pas vraiment là pour faire du tourisme, mais pour gagner de l’argent. Très vite, nous croisons un certain nombre de backpackers, autant voire plus désespérés que nous, qui cherchent du travail ou qui parfois ont abandonné l’idée d’en trouver. La situation ne semble pas aisée…

 Nous appelons nos amis de la Belgique : eux ont trouvé le plan parfait, ils travaillent dans une ferme à Robinvale et bossent directement pour le fermier, ce qui est de loin ce qu’il y a de plus avantageux quand on fait du picking. Ils louent une petite maison au fermier pour 40 dollars par personne par semaine et ont à ce prix douche, cuisine, chambres et machine à laver ! Bref, le luxe !

Nous roulons donc jusqu’à Robinvale qui se trouve à plus de 80km de Mildura (vive l’Australie et les grandes distances !) dans l’espoir de ratisser les fermes du coin et de trouver un plan équivalent à celui de nos compagnons Belges. Hélas, pendant deux jours et après plus de recherches que nous aurions pu imaginer, nous devons nous rendre à l’évidence : il n’y a rien. 
Nous avons pourtant tout tenté, tout donné : nous avons roulé encore et encore et demandé à une cinquantaine de fermes, donné nos numéros à tous les gens que nous avons rencontré, pris d’autres numéros que nous avons appelé pour essuyer encore des refus… La situation est critique ! De plus, laissez-moi vous dire que Robinvale n’a rien d’un rêve : c’est un petit bled où il y a un supermarché très CHER, une piscine, une rue principale avec 2 cafés et 1 bar, bref…

Après deux jours, bredouilles et légèrement déprimés, nous repartons pour Mildura, reparlons encore et encore avec des backpackers et quittons la ville pour aller vers Waikerie : nous avions fait la connaissance de 3 filles qui voyageaient en van et apparemment, elles auraient trouvé du boulot dans les oranges.

Une fois là-bas, nous bossons une journée dans le picking d’oranges. La bin, la même que pour les oignons ou les tomates, vaut 25 dollars et on se casse le dos sur des échelles super grandes, on se griffe dans les branches, pour gagner quoi ? 25 dollars !

Pour cette fois, trop c’est trop ! Notre moral est de plus en plus mauvais, la fatigue aussi commence à abîmer notre motivation, nous en avons assez du picking payé la misère, nous en avons assez d’arriver dans une région et que ce ne soit pas encore la période, ou qu’il pleuve, nous en avons assez de devoir attendre ou trimer pour rien du tout.

Nous rencontrons des Français qui nous disent d’aller en ville : apparemment, on peut trouver du boulot facilement et c’est payé à l’heure. De quoi gagner vite et bien pour se refaire une santé et reprendre le voyage.

Désespérés et à bout de nerfs, nous tentons notre chance une dernière fois et prenons la route pour Adelaide.

Fin de la Great Ocean Road...

Après le petit zoo où nous avons vécu des moments inoubliables au milieu des animaux, nous roulons jusqu’à Cape Bridgewater où, parait-il, on peut voir des phoques qui se dorent la pilule au soleil sur les rochers. Nous arrivons un peu tard et la randonnée jusqu’au point de vue va nous prendre 2 bonnes heures. Mais on y va, parce qu’on a encore envie de voir des choses incroyables. Allez, on marche, en parlant, en chantant, en riant, et on voit sur le chemin d’autres kangourous en liberté, qui font la course, ou même qui nous attendent en plein milieu de la piste.

Finalement, on arrive au point de vue, mais le soleil n’est pas au rendez-vous et les phoques sont loin, loin, loin… On les voit quand même, il y en a sur les rochers, difficiles à distinguer, sachant qu’ils sont de la même couleur grise que les rochers ! Il y en a aussi dans l’eau, et on en voit même qui sautent ! Allez, après ça, il faut retourner au Wasa van qui nous attend pour nous emmener encore plus loin…


On s’arrête dans une station service et le lendemain matin, on part voir les Grampians, un des plus beaux parcs nationaux du Victoria. Et on n’est pas déçus du voyage, ces cascades sont magnifiques une fois encore ! Comme quoi, ce pays ne s’arrête jamais de nous offrir des paysages plus beaux les uns que les autres.

Après ce road-trip et cette découverte de la Great Ocean Road, nous voilà repartis sur la route, nous roulons pendant des heures et traversons même une tempête de poussière… 
Pour finalement arriver à destination : Mildura, région viticole des plus connues en Australie, où nous espérons de tout cœur trouver du travail dans le picking du raisin !!

Suite et fin de la Great Ocean Road !

 Voici des peintures aborigènes du parc des Grampians.

 The Petrified Forest, à Cape Bridgewater...


Les phoques de très loin, désolée pour la qualité de la photo :)
 Les cascades du parc national des Grampians...



samedi 14 janvier 2012

Great Ocean Road deuxième jour !

Nous voilà repartis pour une deuxième journée. Nous nous étions garés près du site appelé The Arch, pour être aux premières loges dès le début de la matinée, et en fait, on a été réveillés très tôt par un garde forestier de la réserve qui nous a dit qu’on n’avait pas le droit de dormir là.

Mais bon, on a juste eu un petit avertissement, et comme ça on s’est levés super tôt, pour aller voir cette arche, qui était tout aussi magnifique que ce qu’on avait vu la veille. 

Nous avons continué la route et vu d’autres grosses falaises, avec des grands morceaux détachés de la terre. Une vue à couper le souffle pour commencer comme il faut notre deuxième journée de découvertes de cette superbe route.

Nous avons ensuite roulé jusqu’à une petite réserve. Retour en arrière : à Shepparton, on avait rencontré un couple de Français, qui nous avait donnés les coordonnées de ce petit parc appartenant à un petit vieux Australien et où il y avait plein d’animaux à voir et à nourrir. Alors c’est jusque là qu’on a roulé. Le parc s’appelle Wild Life Park et se trouve à Cudgee, un tout petit bled paumé et pas facile à trouver. Mais à force de demi-tours et de recherches, nous y voilà.

On entre dans le petit parc et le Monsieur me met direct un bébé kangourou dans les bras. C’est une espèce qui se situe entre le mini-kangourou et le Wallaby et c’est donc une toute petite boule de poils avec une mini-tête qui se trouve dans une petite couverture entre mes bras. Et là, je vous laisse imaginer les 3 gosses que nous étions, à dire : moi aussi je le veux dans mes bras !! Et donc, je l’ai passé à Chris, qui l’a passé à Aimery et tout le monde était content !!


Après ça, on entre dans le parc et là, c’est que du bonheur pendant une heure et demie !! On a commencé par nourrir les kangourous (le Monsieur nous avait donnés à chacun des gros morceaux de pain), et les voir prendre le petit bout de pain entre leurs deux pattes de devant et les manger, miette par miette… Indescriptible les amis, je vous le dis…

On a continué notre petit chemin, on s’est arrêtés pour voir des émeus, d’ailleurs au début, on croyait que c’étaient des autruches… No comment on ne pouvait pas savoir. Un peu plus loin, nous voilà en train de donner du pain à un gros cerf et à des biches, quand tout à coup, on voit Bambi arriver en courant, moment magique, mais le petit était un peu farouche et ne s’approchait pas trop… Au bout de quelques minutes, l’appel de la nourriture était trop fort et il a quand même déboulé jusqu’à nuit, sur ses pattes toutes frêles.


Enfin voilà, après ça, on a observé un faucon pendant quelques minutes, mais il ne voulait pas bouger, puis on a vu des petits singes, des kangourous tout blancs (ou peut-être était-ce des wallaby), et toutes sortes d’oiseaux et on a même eu l’occasion de passer un peu de temps avec un kangourou qui se baladait tranquille dans le parc et qui avait un petit dans la poche. Il y avait 4 koalas dans le parc et le Monsieur nous a laissé les caresser alors qu’ils mangeaient de l’eucalyptus.

Après cette balade, nous allions partir et là, le vieux monsieur nous propose de tenir un python. Sachant que l’animal en question était quand même plutôt balèze (jugez vous-mêmes sur la photo), au début, on avait un peu peur, et puis on s’est dit : c’est maintenant ou jamais et nous voilà avec cet énorme serpent autour du cou…… Verdict : lourd, visqueux, froid, pas forcément ce qu’il y a de plus agréable, mais quand même un bon moment !


Et voilà, nous avons quitté le parc avec un grand sourire sur nos visages, et pendant environ 2h, nous étions sur un petit nuage, comme dans un rêve.
Pour la suite de cet épisode, ce sera la prochaine fois, avec de nouvelles photos et de nouveaux récits de nos aventures… A bientôt les amis et j’espère que vous apprécierez les photos !

Great Ocean Road deuxième jour !

Vous trouvez qu'Aimery a l'air rassuré, vous ? Moi, je dirais bien qu'il flippe un peu !!
 The Arch, au petit matin...


Arrivée au parc, avec le bébé kangourou dans mes bras..
 Il l'a réclamé pendant de longues minutes : "moi aussi je veux le tenir, moi aussi je veux le tenir !!" et regardez comme il est heureux !!
 Ceux là n'avaient pas l'air très sympa, mais en fait ils étaient plutôt cools !
 Petit kangourou tient toujours son bout de pain dans ses petites pattes...



 Et voilà Bambi, encore plus beau quand dans le dessin animé !
 Pour ceux qui l'ignoraient, les koalas dorment 20h sur 24 et se nourrissent d'eucalyptus, ce qui leur donne très peu d'énergie, donc en fait, même quand ils sont réveillés, ils sont toujours un peu dans le cirage : et ça se voit !

Plus doux qu'une peluche !!




Maman et bébé en poche en liberté dans le parc et elle n'était pas du tout farouche en plus..
 Lui par contre, il faisait un peu trop le fier mais bon, il faut dire qu'il avait plutôt la classe.
 Et bien sûr, vous l'attendiez tous : Santa aussi s'est vraiment éclaté à donner à manger aux kangourous, qui l'aimaient vraiment bien d'ailleurs !

 Pas trop en panique, mais pas trop fière non plus...
Sur la photo avec la serpent, Chris a l'air tout content, mais en vrai, il n'arrêtait pas de répéter : "il tourne la tête vers moi, faites quelque chose !!"